Il est probablement impossible d’imaginer notre cuisine, la cuisine méditerranéenne, sans tomates. C’est un produit du jardin qui peut se décliner en de nombreuses variétés et qui est à la base de beaucoup de nos recettes : de la pizza aux sauces de toutes sortes, en passant par les simples pâtes à la sauce tomate. Cela dit, ceux qui ont la possibilité de les cultiver de manière autonome dans leur jardin ou leur potager savent qu’ils disposent d’une fortune non négligeable. Il convient toutefois de préciser qu’il existe un certain nombre de précautions fondamentales à respecter, ceci afin d’obtenir un produit d’excellente qualité et d’éviter que des champignons, des bactéries et divers insectes ne viennent gâcher nos précieuses tomates. Examinons-les en détail.

Tomates plantées obliquement- horizontalement

Bien que de nombreuses personnes utilisent des produits chimiques tels que des pesticides de toutes sortes pour protéger leurs tomates, nous tenons à préciser d’emblée que nous ne les recommandons pas. Il s’agit en tout cas de produits qui peuvent non seulement affecter leur structure et leur qualité, mais aussi être nocifs pour l’environnement et l’homme s’ils ne sont pas utilisés correctement. Imaginez que vous deviez consommer crue, par exemple, une tomate traitée avec des pesticides : il est toujours évident que ce n’est pas ce qu’il y a de mieux ! Il est donc très important de choisir une culture qui garantisse une tomate toujours optimale.

L’une des techniques les plus populaires aujourd’hui est la culture horizontale. Cette culture est appelée « culture oblique » et consiste à placer la plante dans un angle, ce qui lui permet de pousser horizontalement et non verticalement. Il suffit de disposer des rangées de paille sur le sol, à l’endroit où seront placées les tomates : on constate immédiatement une optimisation de l’espace et un meilleur rendement total.

Cela dit, il convient également de mentionner que la culture de tomates « en pleine terre » offre une protection beaucoup plus importante contre les organismes nuisibles tels que les champignons. D’autre part, les problèmes peuvent concerner l’irrigation. Comme vous pouvez facilement l’imaginer, le sol peut devenir stagnant et les différentes plantes, qui sont presque toujours en contact avec l’eau, en souffrent. De cette manière, il est possible que des bactéries nocives affectent les plantes.